Bulletin de la Société historique
du 10e arrondissement de Paris
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"LES CINéMAS DU 10e"
SOMMAIRE
éDITORIAL, Jeannine CHRISTOPHE
LES PRéCURSEURS
Sur un mur de la caserne Vérines, une plaque indique le lieu où s’était installé le Diorama de Daguerre. C’est, en effet, dans le 10ème arrondissement de Paris que fut vécue la belle aventure de cette salle de spectacle pas tout - à fait - encore un cinéma, mais qui présentait des séances d’un style définitivement innovant mis au point par Jacques M. Daguerre qui passera à la postérité avec son procédé de photographie : le Daguerréotype....suite dans le Bulletin
Méliès est né sur le boulevard Saint-Martin, il a vécu ensuite rue Taylor. Le théâtre qu’il rachète était au début du boulevard des Italiens. Enfant, il a pu assister aux nombreuses animations que l’on pouvait trouver dans ce quartier de Paris. Adulte, il devient illusionniste. Le 28 décembre 1895, il assiste à la première projection commerciale des frères Lumière. Immédiatement, il comprend qu’il ne s’agit pas d’une attraction comme les autres, mais d’une invention révolutionnaire. Il se construit un projecteur et commence à filmer. Très rapidement, il met en scène des films et découvre les truquages. Mais la concurrence et la guerre vont mettre en faillite sa maison de production. Oublié, il finira en tenant une boutique de jouets dans la gare Montparnasse ....suite dans le Bulletin
LES SALLES DU 10e
D’abord simple attraction amusante des cafés-concerts, le cinéma conquiert les théâtres, puis se construisent les premiers cinémas. Le développement parallèle d’un art, de ses artistes, et des salles de ce qui était alors le Paris des spectacles....suite dans le Bulletin
Première salle uniquement consacrée à la projection cinématographique, ce cinéma situé sur un boulevard populaire démarre plutôt bien. Nous sommes en 1896. Les premiers films projetés sont fidèles à la tradition Lumière, puis seront suivis dès 1902 par des films à scénarios dont la durée allait s’allonger progressivement ; Il deviendra un cinéma permanent consacré à l’actualité en 1912....suite dans le Bulletin
Le caf’conc’ louche où chanta un Maurice Chevalier de 14 ans passa en 1907 dans les mains du chansonnier révolutionnaire Montéhus, puis devint Paris-Ciné en 1912. Un siècle d’histoire d’un cinéma de quartier....suite dans le Bulletin
Mes souvenirs du Louxor....suite dans le Bulletin
Rare rescapé des beaux cinémas d’avant-guerre, le Louxor, est le seul exemple à Paris d’architecture cinématographique égyptisante. Comme tous les cinémas de quartier, il connut son heure de gloire, puis le déclin et une longue éclipse. Construit en 1920-21 au carrefour Barbès par l’architecte Zipcy, il déploie l’exceptionnelle richesse de ses mosaïques, œuvre de la fabrique Gentil et Bourdet. Bien que les façades aient été inscrites sur l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1981, l’édifice, racheté en 1985 par la société Tati, fut laissé dans un état d’abandon scandaleux. A la suite de la mobilisation des associations d’habitants pour sauver ce patrimoine intimement lié au paysage urbain de Barbès et à la mémoire du quartier, le Louxor a été racheté par la Ville en juillet 2003 et devrait redevenir un lieu culturel....suite dans le Bulletin
NOS CONFéRENCES
Entre juillet 1943 et août 1944, au 85-87 rue du Faubourg-Saint-Denis dans l’immeuble du marchand de meubles modernes Lévitan, un camp de travail fonctionne en plein Paris. La grande rafle étant programmée, il faut faire de la place à Drancy et une nouvelle catégorisation des détenus est instituée. Ainsi, certains d’entre eux seront détachés à Paris dans un camp annexe et seront affectés au tri des biens et objets sans grande valeur saisis à la population juive....suite dans le Bulletin
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