Résumés
Jeannine CHRISTOPHE
Dominique DELORD : 2 boulevard de Strasbourg une bonne adresse; Topographie des éventaillistes en 1893, pp.8-18
Au troisième étage du 2 du boulevard de Strasbourg, se trouve le Musée de l’Éventail. C’est dans cet appartement qu’en 1893 deux éventaillistes installent leur magasin de vente. On compte alors à Paris 85 fabricants d'éventails ayant cette spécialité. C’est l’histoire de cette profession aujourd’hui presque disparue que vous présente Dominique Delord. Lire la suite dans le Bulletin.
Patrick EVENO : Les boulevards de la presse, pp.19-37
Autour des Grands Boulevards, la presse parisienne a élu domicile au XIXème siècle. L’article de Patrick Eveno nous promène dans ces rues où se sont installés les périodiques, leurs imprimeries. Nous admirons l’architecture de ces grands « hôtel de presse » où officiaient journalistes, employés et les nombreux ouvriers nécessaires à la fabrication. Le quartier vécut jour et nuit pendant de nombreuses années au rythme de cette industrie et des petits métiers qui s’y adjoignaient. Lire la suite dans le Bulletin.
Régis OUVRIER-BONNAZ : Le laboratoire de pédagogie expérimentale du 36 rue de la Grange-aux-Belles, pp. 38-62C’est dans l’école située à cette adresse qu’Alfred Binet et Victor Vaney conduisirent les observations qui permirent la construction de l’échelle métrique de l’intelligence, plus connue sous le nom de test Binet et Simon. Régis Ouvrier-Bonnaz nous relate cette recherche novatrice qui va s’effectuer de 1905 à 1911. Lire la suite dans le Bulletin.
Benoît PASTISSON : Les cris de Paris, pp. 63-79
Présentation des cris de Paris ayant un lien avec les métiers de bouche. Paris était une ville bruyante, les petits métiers signalant ainsi leur présence. Les cris étaient considérés comme typiques du peuple de Paris. Benoit Pastisson fait revivre l’animation de la capitale, dont la célébrité sortira même de nos frontières. Les porcelainiers de Meissen feront de ces petits métiers des objets de collection. Lire la suite dans le Bulletin.
Michel TIARD : La sous station électrique "Temple", pp. 81-91
Les travaux de construction de cette sous-station électrique débutent en 1908 « rue Corbeau » devenue en 1946 rue Jacques Louvel-Tessier. Son architecte est Paul Friesé qui a déjà plusieurs constructions à son actif dans le 10ème arrondissement dont l’imposante usine électrique du 132-134 quai de Jemmapes. Michel Tiard nous présente l’architecte et son bâtiment qui a été réhabilité récemment en hébergement d’urgence pour l’association Emmaüs. Lire la suite dans le Bulletin.
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